Vous êtes ici : Essais automobiles > Actualités > Opel Insignia et remorque
Actualités : Opel Insignia et remorque


© GM Corp.

 


 

Opel Insignia

Le couple parfait pour le temps des vacances

 

  • Grâce à une articulation, le crochet s’escamote et devient invisible
  • Le contrôle de stabilité évite la mise en lacet de la remorque
  • En dépit de l’électronique, il faut apprendre à conduire avec une remorque

Vacances actives en montagne ou farniente sur la plage : peu importe, les semaines les plus mémorables de l’année approchent. Moyen de transport préféré : la voiture. Pour celui qui veut se rendre dans un endroit de rêve avec un véhicule sportif et élégant, et qui doit quand même avoir assez de place pour emmener les bagages et tout l’équipement, Opel propose une gamme particulièrement attrayante : l’Insignia. La Voiture de l’Année 2009 convainc par la place qu’elle offre et par son design, mais aussi par son offre technologique très moderne. Car l’Insignia est la voiture parfaite pour tracter.

La technologie moderne permet à l’Insignia d’être le partenaire idéal des vacances. Un des atouts technologiques de la voiture est son système de contrôle de stabilité de l’attelage : il permet d’endiguer les mouvements de lacets de la remorque et offre une conduire sûre.

Dès que la prise est branchée sur la remorque, le capteur du système ESPplus identifie les mouvements de la remorque. Le programme de stabilité est automatiquement lancé de sorte que pendant la conduite, les informations sont transmises en permanence au calculateur et comparée à des valeurs limites enregistrées. Si la remorque commence à osciller et que les mouvements atteignent une certaine amplitude, quelques millisecondes suffisent pour que la voiture réagisse : l’accélérateur est soulagé et un freinage sélectif intervient, jusqu’à ce que le lacet disparaisse et que le véhicule et la remorque soient de nouveau stables et sûrs. Si la remorque entreprend un troisième grand mouvement de lacet, la voiture va freiner fortement jusqu’à ce que l’attelage soit stabilisé.
Cette façon de freiner, première chose à savoir quand on apprend à piloter un attelage, se fait de manière automatique. Ce qui n’empêche pas le conducteur de pouvoir faire un mouvement soudain – comme une manœuvre d’évitement – sans que le système de stabilité contrecarre son action.

Un bel aspect préservé grâce au crochet d’attelage invisible
Une fois arrivé à destination – ou revenu à la maison – il suffit de replier le crochet d’attelage. Une alarme retentit lorsqu’il n’a pas été bien remis en place. La boule disparaît sous le plancher de véhicule et ne vient pas perturber l’élégante ligne de l’Insignia. Même la prise du faisceau électronique a été intégrée : ainsi, dès que l’attelage est replié, elle devient invisible elle aussi.

Le crochet de remorquage escamotable, qui inclut automatiquement le système de gestion de l’attelage, est disponible sur le Sports Tourer ainsi que sur les deux versions berlines et coûte 850 euros (Luxembourg : 808 euros). Selon la puissance du moteur, l’Insignia peut tracter jusqu’à 2.000 kg, que ce soit une caravane, une remorque de moto ou une remorque de bateau.

Sièges Insignia approuvés par l’AGR : parfaits pour les longs voyages
L’Insignia dispose d’autres atouts qui en font la partenaire idéale pour les vacances. Son conducteur appréciera le siège ergonomique à multiples réglages certifié par l’AGR (Aktion Gesunder Rücken), une association allemande à but non lucratif de spécialistes orthopédiques.

L’Insignia Sports Tourer se montre particulièrement spacieuse avec un coffre pouvant varier de 540 litres à 1.530 litres. Quand la banquette arrière est repliée, il est possible de transporter des équipements mesurant jusqu’à 1,90 mètre de long en passant par le hayon. Sur le pavillon il est possible de charger encore 100 kg supplémentaires, et si on le désire des bicyclettes. L’Opel Insignia propose le choix entre neuf moteurs essence et diesels, dont les puissances s’échelonnent entre 85 kW/115 ch et 191 kW/260 ch.

C’est en forgeant qu’on devient forgeron : l’art de conduire un attelage
Malgré la présence de tous les dispositifs électroniques de sécurité, il est indispensable au conducteur qui se prépare à tracter pour partir en vacances de se familiariser avec la conduite d’un attelage. Un véhicule plus long a besoin non seulement de plus d’espace pour tourner, mais l’évolution en marche arrière peut aussi occasionner quelques maux de tête. Le novice qui prend le volant pour la première fois d’un attelage peut ignorer par exemple qu’en marche arrière, la remorque peut se diriger dans le sens opposé quand l’angle du volant est important. Il est recommandé, et pas seulement au débutant, de faire la manœuvre calmement. Souvent la remorque peut réagir plutôt paresseusement, puis d’un seul coup l’angle entre le véhicule et la remorque vient à changer. Dans ce cas, la seule solution est de repartir doucement en avant, une manœuvre que même un conducteur expérimenté doit faire de temps en temps. La meilleure chose à faire, quand on est sur terrain plat, peut aussi être de désaccoupler la remorque et de la remettre en position à la main.

 

 

http://www.essai-automobile.com
Juin 2009

Information de l'importateur
info@essai-automobile.com