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La paternité des 4x4 de loisirs, aussi appelés “petits 4x4” ou “Jeep des villes” revient au Rav4 qui innovait, en 1994 déjà, en proposant une structure monocoque à quatre roues indé-pendantes et à transmission intégrale sans réducteur de boîte. Depuis, de nombreux constructeurs ont repris et adapté la formule.

La vocation des véhicules de ce type, en plus de permettre des escapades en passant par les chemins forestiers, est d’affronter les routes enneigées ou couvertes de glace avec plus de sérénité que les berlines. Le sentiment de sécurité est également accru dans ces “SUV” et la perception de la route, haute, permet d’anticiper dans certaines situations. Le Rav4 excelle dans ce contexte. Beaucoup l’ont compris et l’utilisent déjà.

Un moteur essence équipait le Rav4 testé. Pourtant, le marché belge est plus friand du diesel, plus économi-que à l’usage. Sans conteste, choisi-ssez le D4D diesel à rampe commune à injection directe. Je vous invite à mieux comprendre ce moteur en visitant particulièrement la page web : http://fr.toyota.be/showroom/rav4/index.html

Effet de mode, les plastiques “façon titane” garnissent maintenant l’intérieur de l’habitacle : le tableau de bord, les poignées de portes, la console centrale… La modularité et les accessoires exigés par la clientèle sont présents : la banquette arrière inclinable et réglable en profondeur est rabattable en deux parties égales. Retirée, elle dégage complètement le plancher. Par contre, la roue de secours extérieure et les volumineux montants de la porte arrière handicapent la visibilité dans le rétroviseurs et dans les manœuvres de parking. Veillez aussi à vous garer en laissant de la place pour l’ouverture de la porte arrière !

Juillet 2001