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Essai de la Ford Street Ka
Type de voiture :
Prix (mod. testé) : 20.500 €
TMC : 123 €
TR : 212 €
Autonomie :
42 litres = 500 km

 

 

 

Pininfarina a de nouveau réussi sa mission. Transformer une petite citadine qui déjà sortait déjà du lot par sa bouille pouponne en un cabriolet de taille réduite plaisant à regarder, agréable à conduire. L'intérieur est sobre avec une discrète touche de luxe des sièges en cuir et des inserts en aluminium (pommeau de changement de vitesse, arceaux de protection...). La capote en toile qui se range manuellement a permis à Ford de réduire la facture de la StreetKa

Un autre avantage que dévoile cette solution pour la capote, c'est que vous disposez d'un "coffre" d'appoint important si vous laisser la capote en place. Déjà avec sa malle traditionnelle, la StreetKa offre un volume important. Avec elle, il n'est pas exclu de partir en voyage à deux avec des bagages pour plusieurs jours. La StreetKa permet plus que les seules promenades dominicales.

Le constructeur a installé sous le capot un moteur costaud de 1.6 litres de cylindrée, souple à souhait et ce, même à bas régime. La StreetKa permet ainsi de se faire plaisir à conduire sportivement, dans les limites des réglementations routières. Le petit 1600 cc facilite les accélérations franches tout en préservant la tranquillité d'esprit pour le respect des 50, 70, 90 et autres 120 km/h. La StreetKa donne des impressions de vitesse… sans les sanctions qui pourraient les accompagner.

En agglomération, c'est le plaisir assuré. Sur autoroutes, l'agrément reste présent. La polyvalence d'utilisation du petit cabriolet est assurée. Le comportement est sain et le "touché" de la route est agréable. Les roues et des pneus à flancs réduits sont rejetées aux quatre coins. La direction précise associée à la rigueur du châssis bien équilibré permet de se faire plaisir et de virer en toute sécurité. Juste une petite ombre pour la sportive de la ville : le rayon de braquage est trop important pour faire des demi-tours prestigieux dans les rues de la Capitale. Sans pour autant gêner dans les manœuvres traditionnelles.

Enfin, et ce n’est pas négligeable pour un cabriolet, le châssis est renforcé par rapport à la citadine et le freinage est digne d’une conduite sportive, d’autant qu’il est couplé à un ABS et un répartiteur EBD.

Octobre 2003

 


 

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André-Louis De Laet - Belgique
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