Prolongeons la saga des 4x4...
Le Scénic de Renault fait partie de la gamme des tous chemins
dont les quatre roues assurent en permanence la motricité.
Il s’agit-là d’un véhicule de loisirs
autorisant les sorties dans les chemins «battus».
C’est un mono espace compact et pourtant très spacieux.
D’autant plus spacieux que, fidèle à sa tradition
de proposer des «voitures à vivre», Renault agrémente
ce modèle d’une foule de rangements tous plus pratiques
les uns que les autres. Même les tablettes-aviation au dos
des sièges avant contribuent au plaisir des enfants... Renault
présente une «voiture» transformable ipso facto
selon les désiderata de la famille.
Le moteur, premier moteur «Common Rail» de la gamme
Scénic est confortable à souhait. Il est apparent
que la transmission intégrale est gourmande —et pourtant
normale au vu de la tonne et demie à déplacer. Cette
transmission handicape la puissance réellement disponible
et se facture sans délai au premier passage à la pompe.
Comptons sur une consommation proche des 9,5 litres au 100.
Les finitions sont de qualité, même si j’ai
regretté la qualité visuelle des plastiques. A ne
pas manquer, le Carminat, système de navigation GPS. Quel
confort ! Rechercher une adresse en l’écrivant ou en
la repérant sur la carte est d’une facilité
déconcertante. Se faire guider l’est tout autant.
Et cela pour 70.000,-BEF (± 1.735 euros) seulement.
Au rang des défauts :
• la ligne inférieure du Carminat est masquée
par les boutons de réglage,
• l’allumage des sièges chauffants est situé
à gauche du conducteur,
• il manque un témoin d’allumage des dégivrages
du pare-brise et de la lucarne arrière.
Janvier 2001
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